Vol.2 – Sonates pour clavecin (1993)
Mario Raskin
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CD PV796062 © 1996 Pierre Vérany
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« Cette musique va comme un gant à Mario Raskin. Tout cela pétille d’invention, de gaité et rebondit avec esprit sur les modulations agitées… Mais l’atout de Raskin est de ne pas se montrer bridé par les textes. Certains passages du célébrissime Fandango, comme la cadence improvisée du milieu, sont de véritables morceaux d’anthologie, qui démontrent qu’au disque on peut faire de la musique vivante. » — (Répertoire – Septembre 1996 – Michel Laizé)
« On goûtera une articulation raffinée, en quête d’une expressivité langoureuse et sensuelle qu’on accorde assez rarement à cette œuvre [le Fandango]. C’est en effet avec un toucher aux nuances infinies et une superbe intelligence stylistique que Mario Raskin met en lumière toutes les hardiesses de cette musique savante… » — (Diapason – Septembre 1996 – Denis Morrier )
« Longtemps, le fameux fandango fut le monopole du claveciniste Rafael Puyana, puis vint Scott Ross… aujourd’hui Mario Raskin reprend le flambeau. Ses maîtres furent Rafael Puyana dont il nous rappelle la rigueur implacable, et Scott Ross dont il prolonge le discours d’une miraculeuse limpidité. Mais ce claveciniste fait aussi revivre à travers 11 sonates qui évoquent Scarlatti une autre facette moins connue d’Antonio Soler… » — (La Nouvelle Revue du Son – Juillet-Août 1996 – Jean-Marie Piel )
« Mario Raskin qui nous avait régalé avec des transcriptions pour deux clavecins de tangos de Piazzolla – et deux beaux disques de musique française peu connue – a été l’élève de Scott Ross et il lui en est resté ce sens de la danse… Mais au-delà des rythmes Mario Raskin approfondit sa lecture en privilégiant le chant et en faisant ressortir la poésie de cette musique… » (Pré – Juin 1996 – Hervé Pennven )
« Ces deux disques comportent 25 sonates superbement interprétées par Mario Raskin auxquelles a été ajouté un vibrant Fandango habituellement attribué à Soler. » — (Bourbons – Juillet-Août 1996 )
« Pour rendre justice à cette écriture nerveuse sans tomber dans la monotonie, l’interprète doit posséder une approche virtuose et un jeu varié. L’excellent claveciniste argentin Mario Raskin se montre plus convaincant dans les sonates aux tempos rapides, où sa sûreté technique fait merveille. » — (Le Monde de la Musique – Septembre 1996 – Pablo Galonce)